Bonjour
je tiens a partager avec vous une note que je viens de lire ,qui corespond a l'ancien génération de Groupe ,mais qui nous informe sur les diffécultés de démarrage de groupes, lorsque le groupe ne satisfait pas le besoin demandé.
Démarrage des Moteurs Asynchrone à rotor en court circuit sur un Groupe Electrique De Puissance réduite
En Généralité
Tous démarrages d’une machine électrique quelconque exigent que deux conditions soient remplies :
1 Nécessité de fournir, sur l’arbre du moteur à démarrer le couple nécessaire à sa mise en vitesse, c’est une évidence qu’il est bon de rappeler.
2.Nécessiter de limiter la perturbation du réseau, soit pour les exigences du réseau Lui-même, soit pour assurer au moteur le couple d’accélération.
Le problème du démarrage en directe des moteurs à rotors en court circuit n’échappe pas à ces deux exigences.
Dans le cas d’un démarrage à vide seul est à considérer, la perturbation pour le réseau lui-même. dans le cas d’un démarrage en charge, il faut tenir compte en toute logique, des caractéristiques exacte du moteur et la charge,
l’idéal serait de connaître avec exactitude la courbe du couple moteur, et la courbe du couple résistant en fonction de la vitesse,il est bien évident qu’une solution de chaque application cas par cas est possible,car d’une part elle entraîne à des calculs assez longs et d’autre part les constructeurs peuvent s’écarter de 20 à 30 % des valeurs réelles .
On est donc obligé de faire de l’hypothèse simplificatrice pour résoudre le problème d’une manière approximative mais générale cependant, il ne faut jamais oublier que ces hypothèses ont été faites et il faut avoir l’esprit en éveil lorsqu’une difficulté se présente dans la réalité des faites.
Ces hypothèse consistent à se donner des caractéristiques moyennes et habituelles des moteurs asynchrones d’une part et des alternateurs et de leur régulation d’autre part.
Evidement, suivant que l’on est pessimiste ou optimiste ces valeurs moyennes peuvent conduire à des performances très différentes suivant l’opérateur et cela peut être une porte ouverte à une surenchère technique dans laquelle le bluff tient une grande place.
Mais le cas décrit ici reste loin de la question posée,puisque les pompes de circulation ,normalement fonctionnent avec un couple résistant constant,
le fonctionnement des résistance est soumis normalement à une régulation de température Tout ou rien ,ou progressive étagé ,donc on peut gérer la charge appliquer sur le Groupe,
un autre hypothése
On calcule la puissance totale P (kw) à alimenter par le groupe électrogène. On en déduit la puissance apparente S (kVA).
On détermine la puissance apparente Sd, au démarrage du dernier moteur alors que les autres moteurs sont en service.
Pour le démarrage du moteur on tient compte du courant de démarrage qui varie de 3 à 7 fois le courant nominal suivant le type de démarrage préconisé.
La puissance Pg (kVA) du groupe électrogène doit satisfaire aux conditions suivantes :
La puissance supérieure ou égale à 1.1 x S
La puissance supérieure ou égale à Sd / 2
La chute de tension au démarrage doit être inférieure à 10% ,le pire des chose qui risque de se présenter ,en cas de sous dimensionnement.
Cordialement