Bonjour mercure
mercure a écrit :
Ma question , y' t ''il une différence , entre les deux ,ou chaque constructeur utilise ces techniques compétitives qui lui
convient ,pour apprécier son produit,ou des homologuation normative , pour certaines conditions d'éxploitation.
bien que le souci,se présente lorsque la pression interne du transformateur augmente,par la variation du volume ,
et sous l'éffet de la température ,occasionnée soit par des surcharges ou par les conditions atmosphérique ,
Lorsque les transfos sont à la fois hermétiques et entièrement remplis de diélectrique, je ne connais qu'une technique, ce sont les appellations commerciales qui varient.
Il y a eu des appareils hermétiques à matelas gazeux, technique peu intéressante, utilisée lorsqu'on emploie des "radiateurs panneaux" dont la souplesse est insuffisante. Ce n'est plus utilisé, en standard du moins, qu'avec un matelas d'azote et pour de petits transfos sur poteau dont la surface des ondes est insuffisante pour absorber les variations de volume.
Un petit rappel : un transfo hermétique qui fonctionne bien, sans gaz apparent ni changement de coloration,
moins on y touche, mieux ça vaut. En particulier, ne pas faire d'analyses annuelles sur un transfo de distribution classique sans surcharge ou incident particulier (95% des transfos). La première à 10 ans et ensuite une tous les 5 ans*, c'est bien suffisant!
mercure a écrit :
Aussi ,une autre question qui concerne les transformateurs respirants (avec conservateur d'huile)
il est préconisé ,lorsqu'on veut faire l'appoint du niveau d'huile pour les transfo Appelé respirant (avec conservateur) d'avoir un niveau d'huile qui représente le 1/3 du capacité volumique du conservateur ,pour une température
d'ambiance moyenne de 20 °C ,transfo hors tension,charge nulle. est ce que vous partagez cette idée
Salutations
Oui, entre 30 et 40%. Il faut que le transfo puisse supporter une température basse (voir le mini possible) sans que le conservateur se vide et une température haute en conservant un matelas d'air afin qu'il n'y ait pas de de gêne (et si possible pas de rupture de la soupape) en cas d'amorçage interne.
Cela dit, le conservateur est devenu très rare en dessous de 5 MVA...
Cordialement
*sauf anomalie dans les résultats
