Bonsoir,
Dans un appel d'offre pour la fourniture d'un groupe électrogène, SLT de type TT, il est demandé d'inclure un CPI pour controler l'isolement de l'alternateur lorsque le groupe électrogène est à l'arrêt, ce CPI sera alimenté uniquement lorsque le groupe est à l'arrêt...
S'agit d'un appareil du type de contrôle hors tension pour les moteurs triphasés?
C'est la première fois que je suis confronté à ce type de demande, j'avoue être un peu perdu
Lors de l'alimentation du CPI, faut t'il couper la liaison neutre/terre?
il me semble avoir vu que ces CPI fonctionnaient quelque soit le SLT...
N'y a t'il pas de risque pour l'électronique de l'alternateur (AVR, diodes)? lors du contrôle d'isolement, il est demandé généralement de déconnecter ces éléments.
Merci de vos éclaircissements. Tipler.
CPI pour contrôle isolement de l'alternateur
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Re: CPI pour contrôle isolement de l'alternateur
Bonjour,
Il est possible d'utiliser un CPI standard, mais l'emploi d'un modèle dédié à ce type d'utilisation est recommandé:
-meilleure adapation: caractéristiques, plage de mesure
-système de mise en/ hors service intégré (différentes possibilités, dont la palpation de tension)
-coût généralement moins élevé
Cordialement
* pour les réseaux BT . Les appareils pour réseaux HT injectent une tension plus élevée, par ex 200V.
En effet.Tipler a écrit : S'agit d'un appareil du type de contrôle hors tension pour les moteurs triphasés?
Il est possible d'utiliser un CPI standard, mais l'emploi d'un modèle dédié à ce type d'utilisation est recommandé:
-meilleure adapation: caractéristiques, plage de mesure
-système de mise en/ hors service intégré (différentes possibilités, dont la palpation de tension)
-coût généralement moins élevé
Oui, bien sûr, sinon l'appareil verra un défaut.Tipler a écrit : Lors de l'alimentation du CPI, faut t'il couper la liaison neutre/terre?
Bien sûr puisque l'on change de Slt durant tout le temps de la surveillance.Tipler a écrit :
il me semble avoir vu que ces CPI fonctionnaient quelque soit le SLT...
Non, tous les appareils réalisant un contrôle permanent de l'isolement (à prendre ici par opposition au contrôle ponctuel au moyen d'un mégohmmètre) injectent une tension <20V *sans danger pour l'électronique.Tipler a écrit :
N'y a t'il pas de risque pour l'électronique de l'alternateur (AVR, diodes)? lors du contrôle d'isolement, il est demandé généralement de déconnecter ces éléments.
Cordialement
* pour les réseaux BT . Les appareils pour réseaux HT injectent une tension plus élevée, par ex 200V.
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Re: CPI pour contrôle isolement de l'alternateur
Bonjour,
merci Candela pour ces éclaircissements...
Pour la coupure neutre/terre, que dois je utiliser comme équipement? un contacteur suffit t'il? il me semble que sur un autre post vous m'avez conseillé un ''rupteur''. de quel genre d'appareil s'agit t'il? avez vous un type, un modèle à me communiquer que je visualise mieux?
il s'agit d'un groupe de 100kVA en régime TT...
Merci de votre avis.
Cdtl, Tipler.
merci Candela pour ces éclaircissements...
Pour la coupure neutre/terre, que dois je utiliser comme équipement? un contacteur suffit t'il? il me semble que sur un autre post vous m'avez conseillé un ''rupteur''. de quel genre d'appareil s'agit t'il? avez vous un type, un modèle à me communiquer que je visualise mieux?
il s'agit d'un groupe de 100kVA en régime TT...
Merci de votre avis.
Cdtl, Tipler.
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Re: CPI pour contrôle isolement de l'alternateur
Bonjour,
La première caractéristique est qu'il doit pouvoir supporter l'IK1 du groupe. Il faut donc bien un contacteur, et pas un relais.
La deuxième est que le fonctionnement doit être sûr; deux solutions à mon sens:
-rupteur, on devrait dire "pôle rupteur", c'est à dire tout simplement un contacteur dont le contact puissance soit NF (NC...)
-soit un contacteur groupe...muni d'un pôle supplémentaire (et pas d'un contact auxiliaire), NO cette-fois-ci. Comme il serait associé aux contacts principaux, il n'y a pas d'inconvénient à avoir un pôle classique dans ce cas. Reste à trouver un contacteur avec ce pôle supplémentaire...
Cordialement
La première caractéristique est qu'il doit pouvoir supporter l'IK1 du groupe. Il faut donc bien un contacteur, et pas un relais.
La deuxième est que le fonctionnement doit être sûr; deux solutions à mon sens:
-rupteur, on devrait dire "pôle rupteur", c'est à dire tout simplement un contacteur dont le contact puissance soit NF (NC...)
-soit un contacteur groupe...muni d'un pôle supplémentaire (et pas d'un contact auxiliaire), NO cette-fois-ci. Comme il serait associé aux contacts principaux, il n'y a pas d'inconvénient à avoir un pôle classique dans ce cas. Reste à trouver un contacteur avec ce pôle supplémentaire...
Cordialement
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