-
L'histoire de l'électricité
-
Les principaux savants
-
Appareillage
- • Socle DCL
- • Les disjoncteurs
- • Le Disjoncteur différentiel
- • L'interrupteur différentiel
- • Le relais thermique
- • Les contacteurs
- • Moteurs asynchrones
- • Les piles
- • Les batteries
- • La prise de terre
- • Prise de terre, suite...
- • Temporisateurs électroniques
- • Le relais bistable
- • Les détecteurs inductifs
- • Les cellules photoélectriques
- • Le sectionneur
- • L'interrupteur de puissance
- • Le relais de courant
- • Les relais de contrôle des réseaux triphasés
- • Branchement contacteur jour/nuit
- • La production d'eau chaude sanitaire
- • Les symboles des appareils
- • Symboles
- • Le presse-étoupe
- • Le transformateur de courant
- • Le transformateur de tension
-
L'électricité
- • Les effets du courant électrique
- • L'électrolyse
- • Les effets du courant électrique Page 2
- • Les dangers de l'électricité
- • Le choc électrique
- • La salle d’eau en détail
- • Le facteur de puissance
- • Les incendies et l’électricité
Les incendies d’origine électrique
- • Les points chauds
- • Le serrage des connexions
- • Le réseau électrique Français
-
Réaliser une installation
- • Les précautions
- • Ressources éparses du site
- • Les fils (conducteurs)
- • La section des conducteurs
- • Les gaines
- • Installer une GTL
- • Installer une boite dans du placoplâtre
- • Installer une prise de courant
- • Installer un va et vient
- • Installer un télérupteur
- • Installer une minuterie
- • L'éclairage
- • Les saignées
- • Réaliser une LEP
- • Réaliser un simulateur de présence
- • Installer une motorisation de portail
- • Installer une motorisation de portail
- • Tube porteur (Métro)
- • Raccordement des conducteurs "Les dominos"
- • Raccorder et installer un spot LED extérieur
-
L'éclairage
-
Pneumatique Hydraulique
-
Profession électricien
-
Sondages
-
Le site volta-Electricité
-
Calculettes
- • Votre compteur d'énergie
- • Nombre de tour / Puissance, sortie compteur
- • Mesure de la puissance à l’aide d’un compteur d’énergie
- • Estimation prise de terre
- • Puissance
- • Résistance
- • Calcul de la résistance d'un conducteur
- • Résistivité
- • Contrôle protections des lignes
- • Charge d'un condensateur
- • Calcul de la chute de tension
- • Calcul de la chute de tension, Version 2
- • Calcul résistances en parallèle
- • Force électromotrice
- • Durée d'utilisation d'une batterie au plomb
- • f.é.m. (Puissance)
- • Force contre-électromotrice
- • f.c.é.m (Puissance)
- • Résistance et inductance serie
- • Résistance et capacité serie
- • Résistance et Inductance parallèle
- • Résistance et capacité parallèle
- • Calcul de la puissance alternatif
- • Calcul de la puissance réactive
- • Calcul de la puissance d'un moteur triphasé
- • Calcul du condensateur en monophasé
- • Calcul de la puissance alternatif triphasé
- • Calcul de la puissance réactive triphasé
- • Relèvement du facteur de puissance
- • Trigonométrie
- • Indices de protection
- • Calcul du condensateur moteur tri vers mono
- • Contrôle du condensateur pour les moteur en monophasé
- • Convertisseur : signal vers mesure
- • Convertisseur : mesure vers signal
- • Calcul durée d'une opération d'électrolyse
- • Volumes et débits
- • Temps de chauffe d'un chauffe eau
- • Estimation puissance hydraulique d'une chute d'eau
- • Calcul puissance moteur alternatif
- • Cercle de la loi d'Ohm
-
Formulaire
- • Formules 01
- • Formules 02
- • Formules 03
- • Formules 04
-
Animations
- • Simple allumage
- • Simple allumage avec voyant V1
- • Simple allumage avec voyant V2
- • Double allumage
- • Schéma animé du télérupteur
- • Double va et vient
- • Le thermostat
- • Le télérupteur
- • L'auto-maintien
- • Montage étoile triangle
- • Le vérin simple effet
- • Electrovanne "NF"
- • Le palan
- • Le relais thermique
- • Station de pompage
- • Surpresseur d'eau
- • Prise de terre et différentiel
- • Contrôle hors tension d’un moteur triphasé avec un multimètre
- • Repérage d’un moteur triphasé sans bornier de connexion
- • Inversion du sens de rotation moteur monophasé
-
Contributions
-
L'extensométrie électrique
-
Pavillon de 250 m²
- • Première page
- • Pavillon de 250 m²
- • Pavillon de 250 m²
- • Pavillon de 250 m²
- • Pavillon de 250 m²
- • Pavillon de 250 m²
- • Pavillon de 250 m²
- • Pavillon de 250 m²
- • Pavillon de 250 m²
- • Pavillon de 250 m²
- • Pavillon de 250 m²
- • Pavillon de 250 m²
- • Pavillon de 250 m²
- • Pavillon de 250 m²
- • Pavillon de 250 m²
- • Pavillon de 250 m²
- • Pavillon de 250 m²
- • Pavillon de 250 m²
- • Pavillon de 250 m²
- • Pavillon de 250 m²
- • Pavillon de 250 m²
- • Pavillon de 250 m²
- • Pavillon de 250 m²
- • Pavillon de 250 m²
- • Pavillon de 250 m²
- • Pavillon de 250 m²
- • Pavillon de 250 m²
- • Pavillon de 250 m²
- • Pavillon de 250 m²
- • Pavillon de 250 m²
- • Table des matières
-
Agrandissement d’un pavillon de 80 m²
-
Chauffage électrique
-
Coffret de communication
-
Pluviomètre à augets électronique
-
Maintenance industrie
-
L'analyse thermographique
-
L'analyse vibratoire
-
Le transformateur HT/BT
-
Les moteurs
- • Réparation d'un moteur triphasé 1/2
- • Réparation d'un moteur triphasé 2/2
- • Rebobinage du stator d’un moteur asynchrone 1/5
- • Rebobinage du stator d’un moteur asynchrone 2/5
- • Rebobinage du stator d’un moteur asynchrone 3/5
- • Rebobinage du stator d’un moteur asynchrone 4/5
- • Rebobinage du stator d’un moteur asynchrone 5/5
- • Refaire les connexion de sortie d'un moteur
- • SUITE, Refaire les connexion de sortie d'un moteur
- • Raccordement d’un moteur triphasé en monophasé
- • Couplage, branchement moteur asynchrone mono.
- • Couplage, branchement moteur asynchrone... (Suite)
- • Adaptation d'un condensateur
- • Le moteur Pilote
- • Identification d’un moteur triphasé sans plaque signalétique
- • Identification d’un moteur triphasé (Suite)
- • Repérage des conducteurs d’un moteur sans plaque à bornes
- • La vitesse d’un moteur asynchrone
- • La vitesse d’un moteur asynchrone, suite
- • Le moteur 2 vitesses Dahlander
- • Moteur Dahlander, autres couplages à la plaque à bornes
- • Détail du couplage moteur Dahlander
- • Possibilités de couplage du moteur 2 vitesses Dahlander
- • Suite, Possibilités de couplage du moteur 2 vitesses Dahlander
- • Démontage et remontage d'un moteur électrique standard
- • Démontage et remontage d'un moteur - Les Outils pour le démontage
- • Démontage et remontage d'un moteur - Démontage 1ère flasque
- • Démontage et remontage d'un moteur - Remontage flasques
- • Démontage et remontage d’une poulie d’un moteur électrique
- • Suite, Démontage et remontage d’une poulie d’un moteur électrique
- • Hauteurs des axes des moteurs pour trouver la puissance
-
Le grafcet
-
Automatismes, les API
-
Perturbations électriques
-
La sécurité dans les ERP
-
Savoir-faire, savoir-être
-
L’habilitation électrique
-
Sécurité
-
Incidents liés à l’électricité
-
Recherche des pannes
18553383 visiteurs
19 visiteurs en ligne
Les incendies d’origine électrique Pourquoi ne pas en dire clairement - l’origine - justement ?
Les actualités, et les plus récentes, font sans cesse état d’incendies d’origine électrique avec leur cohorte de victimes et en particulier des enfants.
Lorsque surviennent de tels sinistres, les médias n’ont de cesse d’en attribuer la cause aux "courts-circuits" en Europe et aux Arcs en Amérique du Nord. Mais cela est généralement faux Pourquoi ne pas alors indiquer la cause réelle de ces feux ? Car si elle n’est jamais désignée, elle ne sera jamais prévenue !
Ainsi une grande confusion demeure et c’est vrai que l’électricité est une matière abstraite : Le grand public légitimement ne comprend pas grand chose, tandis que les ingénieurs, experts et électriciens sur le terrain savent parfaitement ce qu’il en est, les courts circuits et les arcs n’ont pas grand chose à voir avec ces sinistres.
Tout cela peut paraître surprenant pour le profane, mais c’est un constat bien réel que tous les professionnels feront.
Qu’est-elle alors la cause essentielle de ces feux ?
Tout circuit oppose au courant qui le traverse une résistance qui génère un échauffement. C’est l’effet Joule.
Cet effet Joule dépend de la nature du circuit (sa composition, cuivre, aluminium ou autre), de la "quantité" de courant qui le traverse en un temps donné, et bien entendu de sa section.
L’effet Joule est utilisé pour les appareils électroménagers et de chauffage (fers à repasser, sèche-cheveux, grilles pains, ballons d’eau chaude, convecteurs etc).
Le principe est simple : On insère dans un circuit opposant une faible résistance au passage du courant une petite portion de circuit plus résistante, qui va donc s’échauffer au passage du courant comme dans le schéma ci-dessous :

Mais si cet effet Joule est utile pour les utilisations que nous venons d’évoquer, il est aussi bien nuisible dans bon nombre de cas.
Dans le schéma ci-dessus, si les portions du circuit normalement conductrices ne s’échauffent pas ou plutôt que très peu, c’est parce qu’il n’y a qu’une quantité limitée de courant qui traverse le circuit en un temps donné, soit une intensité limitée (l’intensité s’exprime en Ampères).
Si une trop grande quantité de courant traversait ce même circuit en un temps donné, ces portions aussi s’échaufferaient à cause du même effet Joule. Il y aurait alors surintensité.
Bien entendu les surintensités sont dangereuses, l’échauffement d’un circuit peut atteindre des températures très importantes et présenter pour l’utilisateur des grands risques d’incendie.
Qu’a t’il été fait pour préserver les usagers des surintensités ?
On a normalisé la nature et la section des conducteurs à utiliser de manière obligatoire ; on a imposé que tous ces conducteurs soient protégés par des protections de surintensité adaptées à ces circuits.
Ainsi par exemple un circuit en cuivre de 1.5mm² ne peux admettre qu’une intensité maximale de 10 Ampères sans trop s’échauffer. On a donc l’obligation de placer une protection de surintensité de 10 Ampères à la tête de ce circuit. Pour un circuit de 2.5mm² on a l’obligation de placer une protection de 16 Ampères. Pour un circuit de 6 mm², une protection de 32 Ampères, etc
On risque les surintensités dans les circuits pour deux raisons, les surcharges ou les courtscircuits.
- La surcharge c’est lorsque l’on branche trop d’appareils sur un circuit. Mais comme la protection de surintensité limite efficacement la quantité de courant entrante, il ne devrait plus y avoir d’incendie avec les prises multiples par exemple. (Ce qui est loin d’être le cas).
- Le court circuit est la mise en contact directe entre les conducteurs phase neutre. Ce phénomène génère une surintensité très importante et la protection de surintensité là aussi coupe de courant en une fraction de seconde avant que l’échauffement ne puisse devenir dangereux.
Depuis en fait que l’on installe des fusibles en Plomb. Rappelez-vous : « les plombs ont sauté », "les plombs ont fondu" cela de date pas d’hier juste des années 60
Pourquoi alors encore tous ces incendies malgré toutes les normes, vérifications et contrôles si les courts-circuits n’en sont pas les responsables ?
Les raisons fréquemment invoquées, ( vieilles installations, bricolages, etc ) n’expliquent pas tout : dans les sites nucléaires par exemple, pas vraiment bricolés, entretenus et vérifiés périodiquement, un incendie sur deux reste d’origine électrique.
Une vérité de La Palice est qu'un incendie sera du à un échauffement non détecté, ou bien détecté trop tard, tout le monde sera d’accord avec cela
Mais il existe aussi une autre vérité bien plus dérangeante : Si l'on sait très bien détecter que l'ensemble d'un circuit s'échauffe accidentellement par les protections de surintensité comme nous en avons parlé, celles-ci sont incapables de détecter un échauffement pouvant survenir sur un point d'un circuit.
Par exemple toujours dans le schéma ci-dessus, imaginons que la portion du circuit « résistante » le soit devenue par accident.
Il va bien y avoir un échauffement. Mais comme dans le cas d’utilisation d’appareils électroménagers, la protection de surintensité ne déclenchera pas.
Ainsi il subsiste un risque qui n’est pas toujours maîtrisé dans les installations électriques.
C’est là première partie de l’explication de la cause de ces feux.
Il en découle que tout le monde peut subir chez lui un incendie d’une manière inopinée, même avec une installation récente, aux normes et vérifiée. Il suffit simplement que le schéma ci-dessus se produise par accident. Ce n’est pas trop rassurant mais c’est en fait pire. Car nous allons voir qu’il y a dans les installations les ingrédients qui vont tendre à ce que cela finisse par arriver.
C’est la seconde partie de l’explication :
Tous les électriciens, ingénieurs, experts font le constat que la cause essentielle des incendies d’origine électrique est liée aux connexions.
Quand on parle de cause essentielle, il faut entendre entre 80 et 90% des sinistres, car c’est justement l’endroit ou cet accident a le plus de probabilité de se produire. Et avec des facteurs aggravants :
- 1 - Il y a des centaines de connexions disséminées dans les installations électriques. Pour une habitation il en faut entre 200 à 300. Ce nombre entraîne fatalement des risques d'erreurs humaine pour des chantiers qu'il faut terminer toujours au plus vite en fonction des contraintes économiques croissantes. Or comme nous allons le voir, un point de connexion imparfaitement bien réalisé au départ peut se traduire par un incendie plus tard.
- 2 - Comme nous l’avons vu, la détection automatique d’un point chaud isolé dans un circuit depuis un tableau est irréalisable :
Ainsi l’idée d’une protection pouvant détecter fiablement, par l’analyse des conducteurs actifs un point chaud isolé accidentel à distance est illusoire.
Dernière modification : 23/09/2009 : 12:55
Catégorie : Données du Site - L'électricité
Page lue 61888 fois
Il faut dissocier l'origine et la cause, l'origine est la source de chaleur qui a initié la combustion, souvent lente en ce cas, puis le développement en combustion vive puis en incendie. Cette origine est similaire de celle du rayonnement d'un poêle en fonte trop prés de textile inflammable ou de meuble en bois.
La cause est une chose différente en ce qu'elle traduit le comment la source d'énergie, normalement passive, est devenue active.
Les causes se devraient d'être quelque peu classifier, celles volontaires et celles involontaires intégrant les notions de manquements aux règles de l'Art et aux respect des normes, des manquements aux contrôles obligatoires (ERP-Code du travail), d'imprudence, de négligence, de manque d'information du produit utilisé, de reprise partielle d'installation dans un ensemble ancien voire vétuste, etc., etc..
Il ne faut donc pas tout confondre et puis lorsque l'on ne sait pas trouver l'origine de l'incendie et sa cause il est souvent pratique, pour tout le monde, d'invoquer l'électricité dans les confusions d'origine en de cause.
Pour ma part, je cherche à évoluer sur le domaine de l'électricité mais je ne trouve pas grand monde pour m'y aider voire les informations produites se trouvent souvent contradictoires.
Bien cordialement
► Habilitation B1
► Courant, danger ?
►Article de Cyril Charles électricien
► installation électrique neuve
► Contrôle du champ tournant
► Contact direct
► Calculette charge d'un condensateur
► Re-lamping
► Pompe pilotée avec une horloge
► Motorisation de portail, programme API Zelio
► Ajout d'un schéma : contacteur piloté avec un interrupteur
► Ajout d'un nouveau lien : Info Électricité
► Station de pompage, permutation automatique de deux pompes API Zelio en FBD
► Diaporama : repérage des enroulements d'un moteur dont les conducteurs ne sont pas repérés
► Permutation automatique avec un compteur, automate Zelio
► Programme Zelio, permutation automatique
► Téléchargement du programme : Permutation automatique de deux pompes
► Schéma : Inversion moteur monophasé quatre conducteurs
► Inversion du sens de rotation moteur monophasé
► Calculette : Temps de chauffe d'un chauffe eau
► Démarrage moteur avec inversion de sens temporisé
► Commande d'un tapis avec poussoir, arrêt avec cellule
► Têtes de câble 20 KV
► Schéma : démarrage de trois moteurs
► Schéma : moteur en alternance
► Hauteurs des axes des moteurs pour trouver la puissance
► QCM - Préparation de l’habilitation électrique n°2 facile
► Remplacement interrupteur 630 A
► Raccordement des conducteurs "Les dominos"
► Convertisseur en Calories, Joules, Watt heure
► Détecteur de présence avec un radio pilotage
► Contrôle du condensateur pour les moteur en monophasé
► Schéma du surpresseur d'eau
► Animation du surpresseur d'eau
► Les harmoniques (les causes)
► Comment câbler une boucle 4-20 mA
19 visiteurs en ligne

